nuit
Nuit de slam près du feu.
Nuit de danses dans le salon.
Nuit avec besoin de libérer les hormones de bonheur.
Et nuit avec besoin de libérer des mots de douleur.
Une nuit d’hiver sur laquelle l’insomnie réveille l’énergie.
Mais, à quand ma voix sous les ponts ?
À quand les nuits d’hiver où l’on pourra danser, slamer, et libérer nos hormones et nos mots ensemble, près du feu, dans le salon, ou au détour d’une rue ?
Rien que toi et moi. Et l’insomnie en vue.
Tendrement noctambule,
Tim.
Billet n°20
Nuit du 25 au 26 novembre 2020