enfin
À toi qui lis,
Quelle belle nuit !
Enfin, l’alcool qui pulse dans les veines, et l’euphorie.
Enfin, la fatigue qui plombe l’esprit, et la sérénité.
Enfin, le sentiment d’exister, et être plein.
Ce soir : les rires, la joie, la débauche, le charme, le bonheur sur les lèvres.
La plénitude emplit mon corps et je me sens bien.
Le parfum des six verres de vin, peut-être plus, et des cigarettes.
Simplement, sans se contrôler, se laisser aller, complètement, entièrement, sans faire attention au compte et aux règles de santé.
Cette nuit, j’ai le mot.
Cette nuit, je t’aime.
Tendrement tien,
Tim.
Billet n°22
Nuit du 1er au 2 décembre 2020